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Petite histoire d'une photo. Elle était entrée par effraction dans la maison. Je l'ai attrapée, elle n'a pas déposé de froid pipi dans ma chaude menotte (merci encore). Alors je l'ai déposée sur la feuille d'un mûrier. Vous faudra-t-il enfourcher la monture...

A chaque photo sa petite histoire. A chaque confessionnal, son pénitent. Totalement grenouille de bénitier ? Que non ! Ouaille simplement honteuse d'avouer, petite bougresse, ses faiblesses et qui sur l'heure montre ses adorables petites fesses. Trois...

Petite histoire pour une photo. Sur une petite route de mon cher Cher, entre Vallenay et Bruère (eh ! oui) en coquet et judicieux maillot vert, un cycliste, qu'on pourrait croire presque noyé dans la verdure. Ciel ! Noël Mamère, Cohn-Bendit en campagne...

Traces pour l'histoire de la photo. En forêt, au clair de la lune, la boue dans l'ornière, passage d'un rodeur. Il a laissé des traces, le maladroit. Et ainsi troublé l'ordre public. "S. je te vois". Paf ! l'amende sévère.

Oh ! la petite histoire de la petite photo, le matin tôt. Soleil levant très épatant. L'Edf se soucie enfin de l'environnement. Toute peine mérite solaire.

A chaque photo, sa courte histoire. Paris Xe, vue sur les fenêtres du voisinage. Curiosité discrète. Moi ausi j'aurais aimé être lidl des quartiers populaires. Un rêve discount non réalisé. Snif et clic clac.

Une photo peut avoir une histoire tragique. C'est le cas, présentement. Drame en une ornière du bois de Vallenay (Cher). Naufrage genre Titanic ? Ainsi donc, dieux du ciel incléments, la doublure de Di Caprio serait en très très mauvaise position ?

Jean Bellamy www.balsy.net a dit (voir son commentaire ici même) : une photo, pas besoin d'expliquer ! Bien sûr que je ne suis pas d'accord. Une photo, son histoire. Un clou, rouillé, sur un bord de fenêtre (d'accord, posé là par mes soins ! Aurait-il...

L'histoire d'une photo. Tôt, Gare Saint-Lazare. Les damnés de la terre qui s'engoufrent dans le métro. Troupeau, métro, boulot.

Une photo et toute une histoire. Fin des années 50 (ce qui ne rajeunit point), avant de partir pour l'Algérie (quelle connerie la guerre - Prévert) j'adorais traîner du côté de l'île Saint-Louis. Nostalgie. Apparemment je ne suis pas le seul à trimballer...